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La qualité de vie et des conditions de travail (QVCT) joue un rôle de plus en plus déterminant dans les processus de fidélisation et de mobilité des cadres
La QVCT est un facteur majeur de fidélisation : les cadres qui souhaitent rester dans leur entreprise sont nombreux à expliquer leur décision par leur satisfaction en matière de conditions de travail.
Elle est aussi un levier puissant d’attractivité : 45 % des cadres jugent que les conditions de travail sont un critère essentiel pour décider de rejoindre une entreprise (+5 pts en un an), juste derrière la rémunération et le contenu du poste.
Les cadres évaluent la QVCT à l’aune de 4 piliers : les relations de travail, l’autonomie, la reconnaissance et la charge de travail
Lorsqu’un de ces piliers fait défaut, les cadres peuvent être amenés à démissionner : près de la moitié des cadres indiquent par exemple avoir déjà quitté une entreprise en raison d’un manque de reconnaissance.
Chaque cadre va, en fonction de ses expériences passées et de ses priorités actuelles, mettre un accent plus prononcé sur l’un ou l’autre de ces 4 piliers.
Les cadres peinent à se faire une idée juste de la QVCT lors des démarches de recherche d’emploi
Pour prendre les décisions les plus éclairées possibles, les cadres cherchent avant tout à obtenir des informations sur l’autonomie et sur la conciliation vie personnelle - vie professionnelle, mais aussi sur le style de management et les possibilités d’évolution.
Les cadres jugent souvent difficile d’obtenir ces informations lors des processus de recrutement, et cherchent à se renseigner par d’autres moyens (plateformes d’avis de salariés, contacts d’actuels ou d’anciens collaborateurs, etc.).