En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK
0

Des « effets de quartier» à la politique de la ville

Imprimer Partager Sélection
Rapport - Etude

Actes du colloque organisé le 24 novembre 2011 par le Centre d'analyse stratégique et le Comité interministériel des Villes.

En quoi le fait d’habiter dans un quartier défavorisé, ou au contraire favorisé, affecte-t-il les comportements et les trajectoires individuels ? Ces effets, dits “de quartier”, sont-ils liés à la concentration de personnes partageant des caractéristiques communes ? À leur lieu de résidence (isolement spatial, stigmatisation etc.) ? Aux évolutions sociales et structurelles extérieures au quartier ? 

Aux États-Unis et dans la plupart des pays d’Europe occidentale, les principaux “effets de quartier” retenus par les politiques sont ceux liés à la concentration de la pauvreté. Leur existence présumée engendre des politiques publiques ciblant des territoires défavorisés - ceux de la “géographie prioritaire” en France – qui visent à promouvoir la mixité sociale par des politiques de déségrégation urbaine.

  • Au moment du lancement du programme national de rénovation urbaine 2, quelles leçons tirer de ces recherches ?
  • Quels leviers d’action pour promouvoir la mobilité sociale ? Quels nouveaux compromis entre soutien aux territoires et soutien aux personnes ?
Imprimer Partager Sélection