Développer la mobilité européenne des apprentis fait largement consensus alors même que seuls 7 800 apprentis effectuent leur apprentissage en Europe chaque année.
A la demande du ministère du Travail, du Plein Emploi et de l’Insertion, l’Inspection générale des affaires sociales a dressé un constat sur les freins au développement des projets de mobilité européenne par et fait des propositions à même de l’augmenter significativement.
Pour lever ces difficultés, ce rapport développe un panel d’une vingtaine de propositions réparties en cinq thèmes : juridique, financier, organisationnel, académique et de gouvernance, dont trois constituent les leviers les plus actifs pour accompagner le développement de la mobilité des apprentis.L’ensemble de ces propositions devraient permettre de soutenir une dynamique émergeant depuis la fin de la crise sanitaire du Covid et la montée en puissance des acteurs issus de la loi de 2018.