Associer formation et consommation est pour beaucoup un oxymore. Depuis les années 80, certains auteurs proposent un autre regard sur la formation et l’éducation, en parlant de « quasi-marché ». On assiste à une porosité entre la formation et la consommation. Qu’est-ce que cela veut dire ? Quelles nouvelles opportunités cela peut-il générer ? Qu’est-ce que cela change que de considérer l’apprenant comme un consommateur de formation ?