Elle formule trois recommandations :
- redéfinir le rôle de l'ANLCI pour permettre l’accès de tous aux compétences de base, sans se limiter aux seules personnes qui ont été scolarisées en France
- évaluer régulièrement l’ampleur de l’illettrisme sur la base des critères retenus par les études internationales
- développer systématiquement des partenariats territoriaux avec les centres ressources "illettrisme et analphabétisme".