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Dans le cadre du plan de relance économique, le Gouvernement mise sur le développement de l’alternance et de l’apprentissage. C’est ce défi que le GES souhaite relever pour la sécurité privée dans le cadre d’un plan à plusieurs étapes.
Condition première, la législation en sécurité privée doit évoluer, dans le cadre de la Proposition de loi relative à la sécurité globale à l’examen prochain des Sénateurs, afin que soit créée une carte professionnelle d’alternant en sécurité privée. Les activités que pourra réaliser un alternant devront être tutorées et limitées, comme cela est le cas dans d’autres secteurs.
Le GES se fixe un objectif de 20.000 alternantes et alternants à former et recruter d’ici quatre ans, ceci à la fois dans les fonctions opérationnelles et dans les fonctions administratives. Ce plan national s’inscrit également dans une démarche d’une plus grande mixité Femmes/Hommes, d’autant plus nécessaire à l’horizon des futurs grands événements organisés par la France.
Ce changement de paradigme, dans un secteur qui connaît trop peu d’alternants et d’apprentis – principalement du fait du blocage législatif – nécessite un véritable accompagnement, suivi et pilotage. Un comité de pilotage interne réunira des représentants du GES et les partenaires indispensables (organismes de formation, CFA).