La formation professionnelle entre injonction à la numérisation et impératif de sobriété
L’incitation à pratiquer la sobriété numérique s’est ajoutée aux processus de rationalisation gestionnaire auxquels les acteurs de la formation sont soumis. Or, la sobriété ne consiste pas seulement à réduire les empreintes environnementales et énergétiques, mais aussi sociales. En remettant au centre le travail des formateurs, cet article propose un cadre de réflexions exploratoire et prospectif, et pose la question d’une désindustrialisation de la formation.