Même si l’IA n’est pas une discipline nouvelle, et que de nombreux travaux de recherche ont fait progresser ce domaine depuis plusieurs dizaines d’années, cette arrivée dans la sphère publique de Chat GPT par Open IA, rapidement suivie d’autres annonces d’entreprises concurrentes, a mis un coup de projecteur très fort sur le sujet. Il est apparu rapidement que l’IA allait avoir un impact majeur :

• Dans la société en général, avec les enjeux en matière d’information et de désinformation, avec des impacts sur la démocratie et la géopolitique,
• Dans de nombreux secteurs d’activité : la santé, la banque, la finance, le marketing et bien d’autres,
• Sur le marché de l’emploi où de nombreux métiers vont être impactés par l’IA et où les besoins de formation des actifs vont être importants,
• Et bien évidemment dans le domaine de l’éducation et de la formation

Le programme de la conférence a été bâti autour de l’IA dans l’éducation, et plus particulièrement l’Enseignement supérieur, dans une vision à 360°, en mobilisant des experts venus d’horizons différents qui ont partagé leur analyse à travers tables-rondes, présentations, retours d’expériences et partage de bonnes pratiques.

La conférence d’ouverture, donnée par Luc Julia sur le thème « L’intelligence artificielle n’existe pas » a donné un ton iconoclaste, démystifiant le sujet et posant le périmètre d’une réalité.

Le premier focus abordé durant la conférence était centré sur les enseignants et l’impact de l’IA sur les formations et la pédagogie.

Le second focus était centré sur les enjeux éthiques et juridiques autour de l’IA :

Le troisième focus a porté sur la technologie