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L'inégale insertion professionnelle des jeunes diplômés de l'enseignement supérieur Culture en 2017

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Revue

Après l’obtention de leur diplôme de fin de cursus, un tiers des diplômés de l’enseignement supérieur Culture, qui regroupe une centaine d’établissements sous tutelle du ministère de la Culture, poursuit ses études et deux tiers entrent sur le marché du travail. Trois ans après, 87 % de ces entrants sur le marché sont en activité avec, cependant, des taux d’insertion et des conditions d’emploi variables selon la filière d’études.

Les diplômés de l’architecture bénéficient d’une situation plus favorable que ceux des autres filières : 89 % sont en activité trois ans après l’obtention de leur diplôme, la plupart du temps en tant que salariés du secteur privé ou d’entreprises publiques (77 %) et occupent des emplois stables (80 % sont en cdi ou titulaires de la fonction publique).

À l’inverse, les diplômés des arts plastiques connaissent une insertion plus difficile. Seuls 34 % d’entre eux accèdent en moins de trois mois à un premier emploi en rapport avec le diplôme obtenu, et trois ans après l’obtention de leur diplôme, 79 % des entrants sur le marché du travail de cette filière exercent une activité dont la moitié d’entre eux en tant qu’indépendant.

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